Caractérisation du standard d’eau de rivièreslrs-6 (nrc-cnrc) compilation interlaboratoiredu silicium, des terres rares et de 21 autreséléments en trace
Langue
FR
Communication dans un congrès
Ce document a été publié dans
RST 2016, livre des résumés, 25 ème Réunion des sciences de la Terre (RST 2016), 2016-10-24, Caen. 2016p. 334
Résumé
L’analyse des eaux nécessite, généralement, des matériaux deréférence certifiés afin d’assurer la qualité des mesures. En Géosciences,il existe peu de standards d’eau de rivière naturelle ayantun nombre important d’éléments ...Lire la suite >
L’analyse des eaux nécessite, généralement, des matériaux deréférence certifiés afin d’assurer la qualité des mesures. En Géosciences,il existe peu de standards d’eau de rivière naturelle ayantun nombre important d’éléments certifiés. Or, depuis plusieursannées, une dizaine de laboratoires étudient les éléments majeurset en traces dans les solutions naturelles (groupe de travail del’atelier du CNRS ”Isotrace”) et valident leurs mesures avec les19 éléments certifiés de l’eau de rivière d’Ottawa SLRS produitpar le NRC-CNRC. D’autres éléments non certifiés de cette eausont régulièrement analysés par ces laboratoires à l’aide d’ICP-MS(Inductively Coupled Plasma Mass-Spectrometry) et d’ICP-OES(Inductively Coupled Plasma Optical-Emission Spectrometry).Ces travaux ont fait l’objet de deux publications sur les lots SLRS-4 et SLRS-5. Le nouveau lot SLRS-6 est disponible depuis fin 2015et le groupe de travail propose, dès à présent, les valeurs pour unevingtaine d’éléments en traces non certifiés par le producteur.Comme pour les lots précédents, il a été vérifié que les résultatsobtenus étaient cohérents pour les éléments certifiés par le producteur.Ensuite, des valeurs moyennes et leurs incertitudes associées sontproposées pour des éléments non certifiés par NRC-CNRC telsque le silicium et une vingtaine d’éléments en traces dont les terresrares.L’ensemble des valeurs obtenues est comparé au lot SLRS-5 précédent: SLRS-6 est caractérisé par des teneurs généralement plusfaibles que SLRS-5 ce qui en fait un matériau plus difficile àétudier, proches des limites de détection des techniques utilisées.Enfin, pour comprendre les biais éventuels observés dans les laboratoires,il est aussi discuté individuellement des variations pourchaque élément.< Réduire
Mots clés
Eau de rivière
Matériau de référence
Intercalibration