« "La paternité niée de Marcel Martin" de Ramon Saizarbitoria ou de l'humilité de l'écrivain face au juge suprême »
APALATEGUI, Ur
Université de Pau et des Pays de l'Adour [UPPA]
Centre de recherche sur la langue et les textes basques [IKER]
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Article de revue
Ce document a été publié dans
Lapurdum. 2014 n° XVI 2012, p. 7-13
Centre de recherche sur la langue et les textes basques IKER UMR 5478 CNRS
Résumé
« Marcel Martinen aitatasun ukatua (edo ‘la femme, elle, sait’« [La paternité niée de Marcel Martin (ou ‘la femme, elle, sait’)] est une longue nouvelle de 45 pages (ou novella, selon le terme anglais correspondant le plus ...Lire la suite >
« Marcel Martinen aitatasun ukatua (edo ‘la femme, elle, sait’« [La paternité niée de Marcel Martin (ou ‘la femme, elle, sait’)] est une longue nouvelle de 45 pages (ou novella, selon le terme anglais correspondant le plus exactement à ce format narratif) faisant partie de l’ensemble romanesque Gorde nazazu lurpean [Garde-moi sous terre] publié en 2000 par Ramon Saizarbitoria1. L'article propose une interprétation métalittéraire de la nouvelle en faisant de l'enjeu dramatique de sa diégèse inspirée de l'affaire Aurore Martin –Yves Montad en est-il le père biologique?– une réflexion sur la relation entre l'écrivain et le lectorat.< Réduire
Origine
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