Les “Co-créations” cinématographiques de Michel Simon, ou l’essence de cette “tête de l’art”
LE GRAS, Gwénaëlle
Cultures, Littératures, Arts, Représentations, Esthétiques [CLARE]
ARTES [ARTES]
Université Bordeaux Montaigne [UBM]
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Langue
fr
Article de revue
Ce document a été publié dans
Positif. 2006-05 n° 543, p. pp. 74-79
Actes Sud / Institut Lumière
Résumé en anglais
Interprète de plus de cent films, Michel Simon se déclare le « co-créateur » de six de ses personnages. Si dans cette liste figurent les films provenant des grandes collaborations de l’acteur avec tout d’abord Jean Renoir ...Lire la suite >
Interprète de plus de cent films, Michel Simon se déclare le « co-créateur » de six de ses personnages. Si dans cette liste figurent les films provenant des grandes collaborations de l’acteur avec tout d’abord Jean Renoir dans La Chienne en 1931 et Boudu sauvé des eaux en 1932 que Simon produisit, puis avec Jean Vigo dans L’Atalante (1934) et ensuite deux œuvres marquant sa rencontre avec l’univers de Sacha Guitry (La Poison en 1951 et La Vie d’un honnête homme en 1953), on s’étonne plus du sixième titre, L’Étrange Désir de Monsieur Bard de Geza Radvanyi (1954), film mineur dans sa filmographie. Mais on peut faire l’hypothèse que de ces œuvres se dégage la « substantifique moelle » de la persona de Michel Simon, la substance qui déborde le cadre défini d’un rôle, ce limon, résultant du mélange de l’image publique, du jeu de l’acteur et de ses précédents personnages filmiques pour reprendre la définition proposée par Richard Dyer.< Réduire
Origine
Importé de halUnités de recherche