“La Conviction jubilatoire d’Edith Wharton”
Langue
fr
Article de revue
Ce document a été publié dans
Modernités. 2015, vol. 39, p. 309-319
Presses universitaires de Bordeaux
Résumé
Edith Wharton eut la chance de triompher de tout : de l’Amérique, de l’Europe, de New York, de Paris, des difficultés des langues (elle en parlait quatre couramment), de la vitesse (grâce à son automobile), du faubourg ...Lire la suite >
Edith Wharton eut la chance de triompher de tout : de l’Amérique, de l’Europe, de New York, de Paris, des difficultés des langues (elle en parlait quatre couramment), de la vitesse (grâce à son automobile), du faubourg Saint-Germain, pourtant réputé impénétrable, de son mari, et même de Henry James, qui ne savait rien lui refuser. Américaine par la naissance, elle était de culture européenne. Ayant parcouru toute l’Europe dès son enfance, elle connaissait comme sa poche, ou presque, l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne et l’Angleterre. Devenue adulte, elle passa plus de la moitié de sa vie en France. Elle connaissait très bien aussi l’architecture et la décoration intérieure, auxquelles elle consacra son premier livre. Elle fit construire, aménagea et organisa trois grandes maisons : une dans le Massachusetts (devenue un musée aujourd’hui1), une autre près de Paris, et une troisième à Hyères, dans le Var. Poète, nouvelliste, romancière, essayiste, historienne de l’art, traductrice, elle...< Réduire
Mots clés en anglais
Littérature américaine
Edith Wharton
jubilation
Origine
Importé de halUnités de recherche