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dc.contributor.advisorPichet, Eric
dc.contributor.authorTARNAUD, Nicolas
dc.contributor.otherBrana, Sophie
dc.contributor.otherRuas, Anne
dc.contributor.otherSalamon, Joseph
dc.date2014-12-12
dc.identifier.urihttps://oskar-bordeaux.fr/handle/20.500.12278/5989
dc.identifier.nnt2014BORD0381
dc.description.abstractIl y a eu 723 000 transactions dans l’immobilier ancien en 2013. Les ventes en viager ontreprésenté entre 0,5% et 1% de ce montant. Le taux de propriétaires de plus de 60 ansdépasse les 70%. Les seniors possèdent 700 milliards d’euros dans l’immobilier. Deux acteurscomposent le viager : un acheteur et un vendeur. Du côté de l’offre, les retraités sont de plusen plus nombreux à vendre en viager puisqu’ils ont besoin de liquidités : « house rich, cashpoor »1. Avec l’allongement de la durée de vie, les seniors doivent financer les frais de santéet le coût de la dépendance. Du côté de la demande, les particuliers comme les institutionnelssont à la recherche de diversifications patrimoniales. On trouve deux fois moins d’acheteursque de vendeurs en viager. Les institutionnels ont investi dans l’immobilier commercial et lesparticuliers dans le résidentiel depuis les années 90. Qu’en est-il pour le viager ? Pourquoi cemode d’acquisition n’a-t-il pas encore séduit les investisseurs ? Nous avons identifié deuxfreins majeurs : l’un financier, l’autre juridique. Nous avons simulé un portefeuille de 300viagers réels en utilisant 3 tables de mortalité. La modélisation de notre base de données apermis de trouver un faible taux de rendement interne sur l’espérance de vie du vendeur.Nous avons trouvé des TRI allant de 1,80% à 5,13% selon la table de mortalité retenue. Pourobtenir un taux de rendement interne de 5% sur l’espérance de vie du vendeur, en prenant lamoyenne des trois tables de mortalité, les investisseurs doivent faire baisser le montant de larente viagère de 17,55%.Nous avons recommandé différentes mesures en direction des pouvoirs publics afind’améliorer la liquidité du viager immobilier :-Déduire le paiement de la rente des autres revenus fonciers.-Déduire les intérêts d’emprunts ayant servi à financer le bouquet des autres revenus fonciers.-Reculer la durée de la clause résolutoire d’un à trois mois.-Ramener à 15 ans l’exonération des plus-values immobilières.
dc.description.abstractEnThere were 723,000 transactions in existing property in 2013. Life annuity sales accounted forbetween 0.5% and 1% of this amount. The rate of home ownership among the over 60 agegroup exceeds 70%. Senior citizens own 700 million worth of real estate. Life annuity salesinvolve two players: a buyer and a seller. On the supply side, an increasing number ofpensioners are selling their property for life annuities since they need cash: «house rich, cashpoor». With longer life expectancy, senior citizens need to finance health and dependencycosts. On the demand side, both private and institutional investors seek asset diversification.However, there are twice as few buyers than sellers for life annuity property. Since thenineties, institutional investors have invested in commercial property, and private investors inresidential property. What is the situation for life annuity property sales ? We may wonderwhy this form of property acquisition has not so far attracted investors. We have identifiedtwo major hurdles: one financial, the other one legal. We have simulated a portfolio of 300real life annuity sales by using 3 mortality tables. The modeling of our data base enabled us toidentify a weak rate of return on the life expectancy of the seller. We found rates of internalreturn ranging from 1.8% to 5.13% according to the mortality table retained. In order toobtain a 5% rate of internal return on the life expectancy of the seller, taking the average ofthe three mortality tables, investors need to lower the amount of the life annuity by 17.55%.We have recommended different measures to the public authorities in order to improve theliquidity of property life annuities : deduct the payment of the annuity from other propertyincome, deduct the interests of loans used to fund the other property income mix and increasethe duration of the cancellation clause from one to three months.
dc.language.isofr
dc.subjectViager
dc.subjectImmobilier
dc.subjectInvestisseur
dc.subjectInvestisseur privé
dc.subjectRetraite
dc.subjectDépendance
dc.subjectInstitutionnel
dc.subjectÉpargne
dc.subject.enLife annuities
dc.subject.enProperty
dc.subject.enPrivate investor
dc.subject.enInstitutional investor
dc.subject.enPension
dc.subject.enDependency cost
dc.subject.enSaving
dc.titleLes freins à l'implication des investisseurs privés et institutionnels dans le viager immobilier
dc.title.enThe hurdles to the involvement of private and institutional investors in the life annuity purchase market
dc.typeThèses de doctorat
dc.contributor.jurypresidentBrana, Sophie
bordeaux.type.institutionBordeaux
bordeaux.thesis.disciplineSciences économiques
bordeaux.ecole.doctoraleÉcole doctorale Entreprise, économie, société (Pessac, Gironde ; 1991-....)
bordeaux.teamGroupement de recherches coordonnées EFIQ (Pessac, Gironde)
star.origin.linkhttps://www.theses.fr/2014BORD0381
dc.contributor.rapporteurRuas, Anne
dc.contributor.rapporteurSalamon, Joseph
bordeaux.COinSctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:journal&rft.title=Les%20freins%20%C3%A0%20l'implication%20des%20investisseurs%20priv%C3%A9s%20et%20institutionnels%20dans%20le%20viager%20immobilier&rft.atitle=Les%20freins%20%C3%A0%20l'implication%20des%20investisseurs%20priv%C3%A9s%20et%20institutionnels%20dans%20le%20viager%20immobilier&rft.au=TARNAUD,%20Nicolas&rft.genre=unknown


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