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hal.structure.identifierLaboratoire Mémoire, Cerveau et Cognition [LMC2 (URP_7536)]
hal.structure.identifierUFR Institut de psychologie [Sociétés et Humanités] - Université Paris Cité [UFR Psychologie UPCité]
dc.contributor.authorBERTRAND, Elodie
hal.structure.identifierCentre Émile Durkheim [CED]
dc.contributor.authorGUIBET LAFAYE, Caroline
dc.contributor.authorCRÉTOIS, Pierre
hal.structure.identifierLaboratoire Ville, Mobilité, Transport [LVMT]
hal.structure.identifierÉcole d'urbanisme de Paris [EUP]
hal.structure.identifierUniversité Gustave Eiffel
dc.contributor.authorPOINSOT, Philippe
hal.structure.identifierDroits international, comparé et européen / Centre de droit et de politique comparés Jean-Claude Escarras [DICE / CDPC]
dc.contributor.authorRIOT, Cédric
dc.date.issued2018
dc.identifier.isbn978-2-84016-301-5
dc.description.abstractLa propriétarisation (propertization) et la marchandisation (commodification) tendancielles de toutes les portions de la vie humaine et des ressources peuvent apparaître comme un pillage du commun et des biens communs. Elles conduisent aujourd’hui à l’extension du domaine des biens privés, au détriment de celui des biens publics et des biens communs. Le phénomène de propriétarisation semble en effet s’étendre actuellement à des biens et à des ressources de plus en plus nombreux. La propriété, au sens classique (et que les économistes nomment la propriété privée ou propriété exclusive), est définie par le contrôle absolu du propriétaire sur son bien et par la possibilité pour celui-ci d’en exclure qui il le souhaite . C’est d’ailleurs la raison pour laquelle un des symboles qui en exprime la nature est la clôture. La clôture marque matériellement une capacité à délimiter le propre du commun. Le propriétaire, maître de son bien, peut décider unilatéralement ce qu’il souhaite en faire (dans le respect du droit), y compris le détruire indépendamment du consentement d’autrui. La propriété, pensée comme un droit absolu, inviolable et sacré (DDHC, art. 17) de l’individu, parvient souvent à s’excepter des exigences du bien commun au point qu’il est parfois difficile d’imposer aux propriétaires des charges d’intérêt général.
dc.language.isofr
dc.publisherPresses Universitaires de Paris Nanterre
dc.publisher.locationNanterre
dc.subjectPropriété
dc.subjectcommuns
dc.subjectenvironnement
dc.subjectbiens collectifs
dc.subjectgouvernance
dc.titleL’accaparement des biens communs
dc.typeActes de congrès/Proceedings
dc.identifier.doi10.4000/books.pupo.19335
dc.subject.halSciences de l'Homme et Société/Philosophie
dc.subject.halSciences de l'Homme et Société/Sociologie
bordeaux.page184
bordeaux.conference.titleColloque "L’appropriation privative du collectif et du commun. Théorie, histoire et politique"
bordeaux.peerReviewedoui
hal.identifierhal-01566373
hal.version1
hal.audienceInternationale
hal.origin.linkhttps://hal.archives-ouvertes.fr//hal-01566373v1
bordeaux.COinSctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:journal&rft.title=L%E2%80%99accaparement%20des%20biens%20communs&rft.atitle=L%E2%80%99accaparement%20des%20biens%20communs&rft.date=2018&rft.spage=184&rft.epage=184&rft.au=BERTRAND,%20Elodie&GUIBET%20LAFAYE,%20Caroline&CR%C3%89TOIS,%20Pierre&POINSOT,%20Philippe&RIOT,%20C%C3%A9dric&rft.isbn=978-2-84016-301-5&rft.genre=unknown


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