dc.contributor.advisor | Bernard Calas | |
dc.contributor.advisor | Samuel Ouma Owuor | |
hal.structure.identifier | Les Afriques dans le monde [LAM] | |
dc.contributor.author | MBATIA, Teresa Wanjiru | |
dc.contributor.other | Christian Thibon [Président] | |
dc.contributor.other | Jean-Fabien Steck [Rapporteur] | |
dc.contributor.other | Bernard Charlery de La Masselière [Rapporteur] | |
dc.contributor.other | Elias H. O. Ayiemba | |
dc.identifier.nnt | 2016BOR30068 | |
dc.description.abstract | Cette thèse est sur l’historique et contemporain, social, politique et économique des forces, qui ont conduit à la (re) production et (re) construction d’injustice spatiale, de la consommation des espaces verts publics socialement valorisées urbaines à Nairobi. À l’aide d’un cadre de l’écologie politique urbaine (EPU), l’étude examine les forces structurant et les acteurs qui ont déterminé et continuent à la forme, les caractéristiques et les tendances, d’utilisation et accès, de la nature urbaine se réserve dans la ville. La question de recherche central de l’étude est, quels sont les processus sociaux, politiques et économiques passés et présents qui déterminent l’utilisation et l’accès des espaces verts urbains pour différents groupes sociaux à Nairobi? L’étude a été guidée par trois objectifs principaux : (1) d’enquêter sur le contexte historique, dynamique, sociale, politique et économique, impliqué dans les espaces verts urbains de création à Nairobi ; (2) afin d’étudier les politiques passées et présentes et des législations guidant l’utilisation, gestion et conservation de l’urbain protégé des zones, ainsi que les résultats des législations pour différents groupes sociaux et (3) d’examiner les résultats sociaux des interventions de l’acteur non étatique, dans la conservation et la gestion des aires protégées urbaines, sur l’utilisation et l’accès des espaces verts urbains publics, pour différents groupes sociaux. L’approche méthodologique utilisée était l’histoire de l’environnement et de la construction sociale de la nature. L’étude a recueilli des données qualitatives et analyse les informations à l’aide d’un style d’analyse critique du discours. Le premier argument que rend la thèse est que les inégalités sociales et spatiales dans l’utilisation et l’accès nos espaces verts urbains à Nairobi se fonde sur l’histoire urbaine de la ville coloniale, fondée par les impérialistes britanniques et mis au point à l’aide de la ségrégation raciale institutionnalisée, comme la principale stratégie de planification et de gestion urbaine. Basé sur un examen critique des résultats sociaux, des politiques et législations dans la période postcoloniale, je fais le deuxième argument que les gouvernements post indépendantes et moyens, a continué à reproduire injuste nos espaces verts urbains, en omettant de traiter l’oppression et l’autocratie, construit dans les forces structurantes et les institutions, hérités de l’administration coloniale. Par conséquent, pendant une longue période après l’indépendance, autre désenchantement des groupes sociaux vulnérables et marginalisés ont continué, limitant leur utilisation équitable et l’accès des ressources naturelles socialement valorisées. Le discours de l’époque est qu’ouverture aux acteurs non étatiques, augmentera les possibilités pour les groupes sociaux marginalisés et vulnérables, soient habilitées à prendre des décisions sur la gestion et l’utilisation durable des ressources. On croit que cela permettra aux collectivités de durablement pour utiliser et accéder aux ressources naturelles, réduire la pauvreté, améliorer les moyens de subsistance, prestation de services et améliorer la conservation et gestion. Ainsi, environ de la dernière décennie un, indépendant des gouvernements ont modifié leurs politiques, par l’ouverture à la participation du public dans la gestion et la conservation de la nature urbaine se réserve notamment dans la ville. Ces changements dans la politique font partie des déplacements plus loin le gouvernement de l’État centré, vers une autonomisation locale, conformément à la Constitution du Kenya a récemment promulgué (CoK) 2010. L’idée maîtresse de la thèse vient ici, où j’ai une question l’affirmation que la participation citoyenne permettra d’améliorer la justice sociale et spatiale. | |
dc.description.abstractEn | This thesis is about the historical and contemporary social, political and economic forces, that have led to the (re)production and (re)construction of spatial injustice, in the consumption of socially valued public urban green spaces in Nairobi. Using an Urban Political Ecology (UPE) framework, the study investigates the structuring forces and actors that have determined and continue to shape, patterns and trends, of use and access, of urban nature reserves in the city. The central research question of the study is, what are the past and present social, political and economic processes that determine use and access of urban greenspaces for different social user groups in Nairobi? The study was guided by three main objectives: (1) To investigate the historical context, that is, social, political and economic dynamics, involved in the creation urban greenspaces in Nairobi; (2) To investigate the past and present, policies and legislations guiding the use, management and conservation of the urban protected areas, as well as the outcomes of the legislations for different social user groups and (3) To examine the social outcomes of non-state actor’s interventions, in the conservation and management of urban protected areas, on use and access of public urban green spaces, for different social user groups. The methodological approach used was environmental history and the social construction of nature. The study collected qualitative data and analysed the information using a critical discourse analysis style. The first argument the thesis makes is that social and spatial inequalities in use and access urban greenspaces in Nairobi is grounded on the city’s colonial urban history, as founded by the British imperialists and developed using institutionalised racial segregation, as the main strategy for urban planning and management. Based on a critical review of the social outcomes, of policies and legislations in the post-colonial period, I make the second argument that the early and middle post-independent governments, continued to reproduce unjust urban greenspaces, by failing to address the oppression and autocracy, built in the structuring forces and institutions, inherited from the colonial government. Therefore, for a long time after independence, further disenfranchisement of vulnerable and marginalised social groups continued, limiting their equitable use and access of socially valued natural resources. The contemporary discourse is that opening up to non-state actors, will increase opportunities for the marginalised and vulnerable social groups, to be empowered in making decisions on sustainable resource use and management. It is believed that this will enable communities to sustainably use and access natural resources, reduce poverty, improve livelihoods, service delivery and enhance conservation and management. Thus, approximately for the past one decade, the post-independent governments have changed their policies, by opening up to public participation in management and conservation of urban nature reserves including in the city. These changes in policy are part of the wider shifts away from the state centred government, towards local empowerment, in line with the recently promulgated Constitution of Kenya (CoK) 2010. The main thrust of the thesis comes here, where I question the assertion that citizen participation will enhance social and spatial justice. Therefore, a larger part of the thesis investigates the social outcomes of interventions by non-state actors in management and conservation of the urban nature reserves, on different social user groups. | |
dc.language.iso | en | |
dc.subject | Espaces verts urbains | |
dc.subject | Nairobi | |
dc.subject.en | Urban green spaces | |
dc.subject.en | Nairobi | |
dc.title | Analyse socio-politique des espaces verts urbains à Nairobi : perspectives sur la (re) production et (re) construction de l’injustice spatiale dans la consommation des réserves de caractère public dans la ville : une enquête critique sur les résultats des interventions des acteurs non étatiques dans la gestion et la conservation des aires protegées urbaines | |
dc.title.en | Social-Political analysis of urban greenspaces in Nairobi : Perspectives on the (re)production and (re)construction of spatial injustice in the consumption of public nature reserves in the city : A critical inquiry into outcomes of non-state actors interventions in the management and conservation of urban protected areas | |
dc.type | Thèses de doctorat | |
dc.subject.hal | Sciences de l'Homme et Société/Géographie | |
bordeaux.type.institution | Université Michel de Montaigne - Bordeaux III | |
bordeaux.type.institution | University of Nairobi | |
bordeaux.ecole.doctorale | École doctorale Montaigne-Humanités (Pessac, Gironde) | |
hal.identifier | tel-01957518 | |
hal.version | 1 | |
hal.origin.link | https://hal.archives-ouvertes.fr//tel-01957518v1 | |
bordeaux.COinS | ctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:journal&rft.title=Analyse%20socio-politique%20des%20espaces%20verts%20urbains%20%C3%A0%20Nairobi%20:%20perspectives%20sur%20la%20(re)%20production%20et%20(re)%20construction%20de%20l%E2%80&rft.atitle=Analyse%20socio-politique%20des%20espaces%20verts%20urbains%20%C3%A0%20Nairobi%20:%20perspectives%20sur%20la%20(re)%20production%20et%20(re)%20construction%20de%20l%E2%8&rft.au=MBATIA,%20Teresa%20Wanjiru&rft.genre=unknown | |