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dc.rights.licenseauthentificationen_US
dc.contributor.advisorTABARIN, Antoine
hal.structure.identifierUniversité de Bordeaux [UB]
dc.contributor.authorLAVOILLOTTE, Julie
dc.date2023-10-25
dc.date.accessioned2025-10-28T16:05:54Z
dc.date.available2025-10-28T16:05:54Z
dc.identifier.urihttps://oskar-bordeaux.fr/handle/20.500.12278/207877
dc.description.abstractContexte : le diagnostic différentiel entre la maladie de Cushing (MC) et le syndrome de sécrétion ectopique d'ACTH (SEA) est complexe. L'algorithme diagnostique recommandé privilégie l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) hypophysaire en 1ère intention pour tous les patients. Cependant, des outils clinico-biologiques simples ont été décrits comme étant différemment associés à la MC et au SEA. Objectif : notre principal objectif est d'évaluer les performances de paramètres clinico-biologiques simples (âge, sexe, cortisol libre urinaire (CLU), cortisol sérique à 00h, ACTH plasmatique) pour établir une prévalence de SEA. L'objectif secondaire est d’établir différents algorithmes diagnostiques dépendants de la prévalence de SEA, avec des examens de 2ème intention (test à la desmopressine, IRM hypophysaire, scanner thoraco-abdomino-pelvien (TAP), et cathétérisme des sinus pétreux inférieurs (CSPI)). Méthodes : cette étude rétrospective a inclus 247 MC et 35 SEA explorés entre 2001 et 2023 dans les CHU de Bordeaux et de Bicêtre, et 105 patients d'une cohorte de validation belge. Résultats : l'aire sous la courbe ROC du CLU afin de discriminer la MC et le SEA était élevée à 0,96 et 0,99 dans la cohorte de validation. Selon l’analyse C-statistique, aucune investigation, à l'exception du CSPI, n'a amélioré la performance discriminatoire du CLU. La prévalence du SEA était respectivement de 0 %, 6,1 % et 66,7 % chez les patients avec un CLU < 3 x la limite supérieure de la normale (LSN) (Groupe 1), entre 3 et 10 x LSN (Groupe 2), > 10 x LSN (Groupe 3). Ainsi, nous suggérons de réduire les investigations dans le Groupe 1, qui ont tous une MC, de prioriser l'IRM hypophysaire dans le Groupe 2, et de prioriser le scanner TAP dans le Groupe 3. Le rôle du test à la desmopressine est limité. Conclusion : notre étude suggère que le CLU a une haute performance diagnostique pour évaluer la probabilité de SEA et peut servir à définir une approche diagnostique personnalisée principalement basée sur des outils d'imagerie.
dc.description.abstractEnBackground: the differential diagnosis between Cushing's disease (CD) and ectopic ACTH secretion (EAS) syndrome is complex. The currently recommended diagnostic algorithm employs a single first-line approach based on pituitary magnetic resonance imaging (MRI) applicable to all patients. However, simple clinical and biological tools have been described to be differently associated with CD and EAS. Aim: our main objective is to assess the performance of simple clinical (age, sex) and biological parameters (urinary free cortisol (UFC), midnight serum cortisol, plasma ACTH) to establish the prevalence of EAS. The secondary objective is to suggest different diagnostic algorithms according to the prevalence of EAS and involving second-line investigations (desmopressin test, pituitary MRI, neck-to-pelvis CT scan (CT), and bilateral inferior petrosal sinus sampling (BIPSS)) Methods: this retrospective study included 247 CD and 35 patients with EAS explored between 2001 and 2023 in Bordeaux and Bicetre university hospitals and 105 patients from a Belgian validation cohort Results: the area under the ROC curve of UFC for the discrimination between CD and EAS was high at 0.96 and 0.99 in the validation cohort. Using a C-statistic approach, none of the investigations, but BIPSS, improved the discriminatory performance of UFC. The prevalence of EAS was 0%, 6.1% and 66.7% in patients displaying a UFC < 3X ULN (Group 1), between 3 and 10 x ULN (Group 2), > 10 x ULN (Group 3), respectively. Based on the EAS prevalence predicted by UFC, we suggest to reduce investigations in Group 1 patients who all have CD, to prioritize pituitary MRI in Group 2 patients and start first with CT in Group 3 patients. In all cases, the role of the desmopressin test is limited. Conclusion: our study suggests that UFC has a high diagnostic performance to assess the probability of EAS and can serve to define a personalized diagnostic approach involving mainly imaging tools.
dc.language.isoFRen_US
dc.subjectMaladie de Cushing
dc.subjectSyndrome ectopique de sécrétion de l’ACTH
dc.subjectDiagnostic étiologique
dc.subjectCortisol libre urinaire
dc.subjectCathétérisme des sinus pétreux inférieurs
dc.titleUne nouvelle approche personnalisée dans le diagnostic étiologique du syndrome de Cushing ACTH-dépendant
dc.title.enA new personalised approach to the aetiological diagnosis of ACTH-dependent Cushing's syndrome
dc.typeThèse d'exerciceen_US
dc.subject.halSciences du Vivant [q-bio]/Médecine humaine et pathologieen_US
bordeaux.hal.laboratoriesThèses d’exercice de l’Université de Bordeauxen_US
bordeaux.hal.laboratoriesUniversité de Bordeauxen_US
bordeaux.institutionUniversité de Bordeauxen_US
bordeaux.thesis.typethèse d'exercice de médecine spécialiséeen_US
bordeaux.thesis.disciplineEndocrinologie et métabolismeen_US
hal.exportfalse
dc.rights.ccPas de Licence CCen_US
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