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dc.contributor.authorVESSILLIER, Nathalie
hal.structure.identifierBiodiversité, Gènes & Communautés [BioGeCo]
dc.contributor.authorCASTAGNEYROL, Bastien
hal.structure.identifierBiodiversité, Gènes & Communautés [BioGeCo]
dc.contributor.authorVALDÉS-CORRECHER, Elena
dc.contributor.authorDOBBERTIN, Michèle Kaennel
dc.contributor.authorMESGUICH, Mauricette
dc.contributor.authorGUYOT, Claire
dc.contributor.authorBERNARD, Vincent
hal.structure.identifierServices déconcentrés d'appui à la recherche Nouvelle-Aquitaine-Bordeaux [SDAR Nouvelle-Aquitaine-Bordeaux]
dc.contributor.authorGIRARD, Alain
dc.contributor.editorInrae
dc.date.issued2020
dc.identifier.isbn978-2-491452-00-1
dc.description.abstractPour le projet « Gardiens des chênes » et selon un protocole bien établi, les élèves de 17 pays européens ont installé plus de 7 000 fausses chenilles en pâte à modeler dans des arbres pour y déceler des traces laissées par les prédateurs des chenilles. Ils ont envoyé leurs observations aux scientifiques qui étudient les effets du climat sur les défenses des arbres. Ces élèves participants ont suivi exactement le même protocole que les scientifiques professionnels impliqués dans le projet, spécialistes ou non en écologie.Un double objectif a animé les chercheurs pour mettre en place ce projet : obtenir des échantillons de l’Europe entière pour acquérir des données, et dialoguer avec les élèves sur la démarche scientifique, la mise en œuvre d’un protocole expérimental, et montrer comment leur contribution peut être utile aux scientifiques.Pour estimer l’activité des prédateurs des herbivores sur les chênes étudiés, les participants mettent en place des leurres en pâte à modeler imitant la forme et la taille de vraies chenilles. Les prédateurs tombent dans le piège : ils attaquent les leurres comme s’il s’agissait de vraies proies et laissent au passage des traces de bec, de dents ou de mandibules, qu’il suffit ensuite de dénombrer. En 2018-2019, les élèves participant aux projets ont renvoyé aux scientifiques plus de 7 000 fausses chenilles qu’ils ont fabriquées, posées et récupérées au bout d’un mois dans les arbres, et près de 9 000 feuilles de 120 chênes étudiés environ. Le projet se poursuit désormais pour trois années
dc.language.isofr
dc.rights.urihttp://hal.archives-ouvertes.fr/licences/publicDomain/
dc.subject.enQuercus
dc.titleLes gardiens du chêne
dc.title.enOak bodyguards
dc.typeOuvrage
dc.subject.halSciences de l'environnement
hal.identifierhal-04291306
hal.version1
hal.popularoui
hal.audienceInternationale
hal.origin.linkhttps://hal.archives-ouvertes.fr//hal-04291306v1
bordeaux.COinSctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:journal&rft.title=Les%20gardiens%20du%20ch%C3%AAne&rft.atitle=Les%20gardiens%20du%20ch%C3%AAne&rft.date=2020&rft.au=VESSILLIER,%20Nathalie&CASTAGNEYROL,%20Bastien&VALD%C3%89S-CORRECHER,%20Elena&DOBBERTIN,%20Mich%C3%A8le%20Kaennel&MESGUICH,%20Mauricette&rft.isbn=978-2-491452-00-1&rft.genre=unknown


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