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dc.contributor.advisorAlain Kiyindou
hal.structure.identifierMédiation, Information, Communication, Art [MICA]
dc.contributor.authorTIAO, Beyon Luc Adolphe
dc.contributor.otherDaniel Raichvarg [Président]
dc.contributor.otherBertrand Cabedoche [Rapporteur]
dc.contributor.otherThéophile Serge Balima [Rapporteur]
dc.contributor.otherAlioune Badara Fall
dc.identifier.nnt2015BOR30006
dc.description.abstractLes flux nés de la libéralisation du secteur des médias ont suscité des interrogations quant à la maîtrise du traitement de l’information par des hommes dont la grande majorité n’avait aucune connaissance en matière de journalisme. De même, les impératifs de service public et une répartition équitable des ondes devenaient une préoccupation des politiques publiques en matière de communication. C’est dans ce contexte, qu’un nouveau paradigme, celui de la régulation, apparaît dans la reformulation des politiques des médias. Appliquée au secteur des médias, la régulation devait non seulement protéger et garantir le bon fonctionnement du système mais aussi en assurer en cas de besoin une répartition équitable de son domaine d’action. Les instances de régulation en Afrique sont confrontées à de nouveaux défis auxquels elles sont désarmées. Il s’agit de l’évolution exponentielle de la technologie de l’information et de la communication (Tics). Elle se traduit en termes de la gestion des flots d’information véhiculés par les médias ligne et la problématique de la transition vers la télévision numérique terrestre. Pour les Sciences de l’information et de la communication, il s’avère important de comprendre la pertinence de la régulation des médias, d’en analyser les moyens et le champ. Notre question principale pourrait donc être formulée comme suit : Dans quelle mesure la régulation des médias peut-elle être un moyen de consolidation de la démocratie ? Cette question nous semble pertinente quand on voit les conflits d’intérêts entre les acteurs du débat public qu’ils soient du pouvoir politique, qu’ils soient inscrits dans des mouvements politiques ou dans la société civile. L’hypothèse qui se dégage est que la régulation médiatique peut être un outil de consolidation de la démocratie. Le mode de régulation étant tributaire du contexte de chaque pays, le champ de notre recherche se circonscrit au Burkina Faso.
dc.description.abstractEnLarge flows stemming from the liberalization of the media sector arose questions related to the mastery of information processing by men among whom a large majority didn’t have any knowledge of journalism. Besides, the requirements of public services and a fair distribution of broadcasting systems constituted a major concern for public policies in connection with communication. This context has brought about a new paradigm that has urged the inclusion of media regulation in the reformulation of the media policies. The regulation process which is applied in the media sector should not only protect and guarantee the appropriate operation of the system but also ensure, in case of need, a fair distribution of its action scope. Regulations systems in Africa are confronted with new challenges which they face desperately. For instance, we can cite the rapid surge of information and communication technology (ICT). It is occurring in terms of managing information flows conveyed by line media and tackling the issue of turning the process into land digital television. In the field of information and communication sciences, it is important to understand the relevance of the media regulation and conduct an analysis of its means and scope. Therefore, our main question could be raised as follows: To what extent can media regulation constitute a means to consolidate democracy? This question seems to be relevant to us when one notice conflicts of interest arising between actors of the public debate whether they belong to the public power or they are registered in political movements or in civil society. With regard to this situation, we can assume that media regulation can be considered as a proper tool for the consolidation of democracy. Owing to the fact that the regulation mode depends on the context of each country, our research scope is limited within Burkina Faso.
dc.language.isofr
dc.subjectRégulation
dc.subjectMédias
dc.subjectBurkina Faso
dc.subjectAfrique
dc.subjectCommunication
dc.subjectDémocratie
dc.subjectPluralisme
dc.subjectDéontologie
dc.subject.enPluralism
dc.subject.enDemocracy
dc.subject.enAfrica
dc.subject.enConvergence
dc.subject.enProfessional code of ethics
dc.subject.enAutoregulation
dc.titleRégulation des médias d'Afrique francophone : cas du Burkina Faso
dc.title.enMedia regulation in francophone Africa : case of Burkina Faso
dc.typeThèses de doctorat
dc.subject.halSciences de l'Homme et Société/Sciences de l'information et de la communication
bordeaux.type.institutionUniversité Michel de Montaigne - Bordeaux III
bordeaux.ecole.doctoraleÉcole doctorale Montaigne-Humanités (Pessac, Gironde)
hal.identifiertel-01239847
hal.version1
hal.origin.linkhttps://hal.archives-ouvertes.fr//tel-01239847v1
bordeaux.COinSctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:journal&rft.title=R%C3%A9gulation%20des%20m%C3%A9dias%20d'Afrique%20francophone%20:%20cas%20du%20Burkina%20Faso&rft.atitle=R%C3%A9gulation%20des%20m%C3%A9dias%20d'Afrique%20francophone%20:%20cas%20du%20Burkina%20Faso&rft.au=TIAO,%20Beyon%20Luc%20Adolphe&rft.genre=unknown


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