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hal.structure.identifierLangues, Littératures, Arts et Cultures des Suds [LLACS]
dc.contributor.authorVOGA, Madeleine
dc.contributor.authorBONAMI, Olivier
dc.contributor.authorBOYÉ, Gilles
dc.contributor.authorGIRAUDO, Hélène
dc.date.accessioned2022-03-07T14:26:39Z
dc.date.available2022-03-07T14:26:39Z
dc.date.issued2008
dc.date.conference2008
dc.identifier.urihttps://oskar-bordeaux.fr/handle/20.500.12278/129800
dc.description.abstractSi on suppose que la dichotomie régulier/irrégulier joue un rôle dans la flexion, on doit se demander quels sont les verbes du français qui sont réguliers. La question n’est pas triviale, parce que le deuxième groupe a un statut ambigu : il n’est plus productif, mais concerne un nombre de lexème important ; le patron de conjugaison est simple (pas plus complexe que celui du premier groupe), et les locuteurs font peu d’erreurs de conjugaison à son sujet. Dans cette situation, seul l’examen de données psycholinguistique peut permettre de trancher. Le but de cette communication est double. Dans un premier temps, nous présentons des données psycholinguistiques militant en faveur d’un statut régulier pour le deuxième groupe. Dans une tâche de jugement, face à des formes qui sont ambiguës entre premier et deuxième groupe, les sujets ne manifestent pas de préférence pour une conjugaison dans le premier groupe ; alors que face à une forme ambiguë entre premier et troisième groupe, ils manifestent une forte préférence pour une conjugaison dans le premier groupe. Si ces résultats peuvent donner lieu à différentes interprétations psycholinguistiques, ils sont incompatibles avec l’idée d’un contraste de régularité entre premier et deuxième groupe. Dans un deuxième temps nous revenons sur la modélisation linguistique de la régularité. Les données psycholinguistiques que nous avons établies suggère que le français possède deux patrons de conjugaison réguliers distincts. Une telle situation est problématique, et se résout habituellement en recourrant à de la phonologie abstraite. Nous proposons une approche alternative, où la case du paradigme qui sert de base à la conjugaison d’un verbe varie d’un lexème à l’autre. Nous montrons que cette approche permet de rendre compte de l’ensemble des verbes des deux premiers groupes sans recourir à des représentations phonologiques abstraites ni à des classes flexionnelles.
dc.language.isofr
dc.publisherInstitut de Linguistique Française
dc.source.titleQuels verbes sont réguliers en français ?
dc.titleQuels verbes sont réguliers en français ?
dc.typeCommunication dans un congrès avec actes
dc.identifier.doi10.1051/cmlf08186
dc.subject.halSciences de l'Homme et Société
dc.subject.halSciences de l'Homme et Société/Linguistique
bordeaux.page13 p.
bordeaux.hal.laboratoriesCLLE Montaigne : Cognition, langues, Langages, Ergonomie - UMR 5263*
bordeaux.institutionUniversité Bordeaux Montaigne
bordeaux.countryFR
bordeaux.title.proceedingCongrès Mondial de Linguistique Française 2008, Paris, 9-12 juillet 2008
bordeaux.conference.cityParis
bordeaux.peerReviewedoui
hal.identifierhal-03068718
hal.version1
hal.origin.linkhttps://hal.archives-ouvertes.fr//hal-03068718v1
bordeaux.COinSctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:journal&rft.title=Quels%20verbes%20sont%20r%C3%A9guliers%20en%20fran%C3%A7ais%20?&rft.btitle=Quels%20verbes%20sont%20r%C3%A9guliers%20en%20fran%C3%A7ais%20?&rft.atitle=Quels%20verbes%20sont%20r%C3%A9guliers%20en%20fran%C3%A7ais%20?&rft.date=2008&rft.spage=13%20p.&rft.epage=13%20p.&rft.au=VOGA,%20Madeleine&BONAMI,%20Olivier&BOY%C3%89,%20Gilles&GIRAUDO,%20H%C3%A9l%C3%A8ne&rft.genre=proceeding


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